UNE ASSOCIATION
DE PRODUCTEURS
BIO & LOCAUX
DISTRIBUTION SAINTE-GENEVIÈVE (OISE, 60)
ADHESION AMAP : DISTRIBUTION DE VIANDES BIO ET LOCALES (BOEUF/PORC/AGNEAU/POULET), OEUFS, FARINE, HUILE (CAMELINE TOURNESOL), LENTILLES, CIDRE,FARINE (COMMANDE LIBRE, LIVRAISON TOUS LES DEUX MOIS) = 15€/AN (Tarif 2025)
CONTRAT LEGUMES : DISTRIBUTION DES PANIERS TOUS LES JEUDIS A SAINTE-GENEVIÈVE (Salle Polyvalente Bouton de Nacre)
PETIT PANIER = 11€/SEMAINE / GRAND PANIER = 22€/SEMAINE
PETIT PANIER = 11€/SEMAINE / GRAND PANIER = 22€/SEMAINE
LES LEGUMES
Par le partenariat établi avec le producteur, l’adhérent se verra attribuer toutes les semaines, selon son choix de départ, soit un panier : “PETIT PANIER” composé de 4/5 espèces végétales minimum différentes/ “GRAND PANIER” composé de 6/7 espèces végétales minimum différentes, selon les disponibilités et les saisons. Donc, l’adhérent ne peut pas décider du contenu de son panier.
Attention : Le principe de l’AMAP met l’abonné en solidarité avec le producteur, face aux aléas climatiques inhérents à une activité agricole respectueuse des ressources naturelles. L’engagement du producteur, sur le nombre de distributions et les quantités distribuées, ne peut donc être qu’estimatif.
info@amapsaintegenevieve.org
06 15 44 24 42 (Morgane - Présidente)
NOTRE MARAICHER :
Loïc BOULANGER - La ferme de Marconville
(VILLERS-SAINT-BARTHELEMY - 60)
Loïc n'est pas fils de paysan mais a toujours voulu cultiver les terres de sa grandmère qui les louait à des fermiers. Il a d'abord fait des céréales tout en ayant d'autres activités (prof de math, sportif de haut niveau, patron d'une société de transport, déménageur). Pour compléter les terres de sa grand-mère, il en acheta et loua d'autres. Un achat malheureux d'un jeune sans expérience qui compris vite qu'on l'avait abusé quand il lu le résultat des premières analyses des sols.
A force de travail et d'amendement, la nature des terres s'améliora progressivement mais 40 ha de céréales ne permettent pas d'assurer un revenu suffisant. Loïc continua ses activités dans le transport, ce qui lui valu un accident très grave à 35 ans et 7 ans de fauteuil roulant, dont il sortit avec la rage de rattraper le temps perdu.
C'est récemment, il y a 8 ans, que Loïc décida de faire des paniers de légumes bio suite à la rencontre d'amapiens en recherche d'un producteur. Il convertit ses hectares en bio, partiellement puis totalement (40 hectares). Il a alors fallu construire de A à Z l'outil de production et continuer à améliorer progressivement des terres difficiles à cultiver en maraîchage.
L'équipe actuelle est composée de 4 salariés en CDI (Charlotte, Christian, Suzanne et Nicolas) et de 2 jeunes en alternance (Guillaume et Nicolas en contrat de spécialisation en maraîchage bio), sans compter Loïc et Delphine et un ou deux saisonniers l'été.
Il livre aujourd'hui 17 amaps d'une dimension très variable. L'ensemble de la commercialisation se fait donc en AMAP, à l'exception du marché du 104 créé il y a deux ans dans le 19ème arrondissement à Paris.
PORC, AGNEAU ET CIDRE DE LA FERME MESENGUY (VILOTRAN - 60)
Cécile et son mari Benoît ont tout quitté pour prêter main forte, il y a 5 ans, aux parents de Cécile, qui élèvent des cochons depuis 30 ans à la ferme Mesenguy à Villotran (60). C'était le rêve d’enfant des parents, Sylvie et Philippe, de travailler la terre et d'élever des animaux.
La Ferme de Mesenguy fait partie des 5% des élevages porcin en France à label bio !
Alimentation bio pour les animaux : 60% de céréales, 35% de protéines végétales, 5% de Minéraux. Les céréales pour nourrir les cochons coutent 2 fois plus cher que dans l’élevage conventionnel, ce qui explique en partie la différence de prix entre le porc conventionnel et le porc bio.
L'éleveur a la maîtrise des équilibres entre ses cultures, ses ressources et l'animal. Interdiction de produits chimiques, destructeurs du milieu vivant (insecticides, herbicides).
Pour le bien-être animal, paille au sol et non caillebotis (comme 95% des porcs qui sont élevés en France). Une faible densité au m2 est favorisée.
Les porcelets sont nourris pendant 5 à 6 semaines par leur mère (3 semaines en conventionnel) et n’ont pas la queue coupée dès la naissance ou les dents arrachées comme dans les élevages intensifs.
Les cochons ont 3 fois plus d’espace qu'en conventionnel et toute une partie de leur box est à l’air libre.
Ferme à taille humaine favorisant l'occupation des campagnes par une activité économique et un lien social sur le territoire.
On retrouve tout ce soin dans la viande d’une qualité incomparable : Tendre, moelleuse, pas sèche, un goût incroyable et un gras excellent et agréable qui fond dans la bouche…
Cécile et Benoît transforment eux-même leur viande de manière artisanale à la ferme et proposent par exemple, outre les colis de viande : Terrine au basilic, nature, à l'estragon, aux fruits secs, à l'orange, aux piments, aux noix... rillettes, pâté de tête, saucisses aux herbes, saucisses sèches… Il y en a pour tous les goûts. On retrouve même régulièrement le bacon ou la poitrine fumée artisanale !
A la ferme sont également élevées une vingtaine de brebis de race blanche du Massif Central. C’est une race de brebis rustique. Ces brebis paissent sous le verger. Elles agnellent en bergerie à la ferme.
Le verger est planté de 4 variétés anciennes de pommes qui donnent naissance à un cidre artisanal Bio pur jus. Il s'étale sur 4 hectares.
Ils élèvent également, toujours avec la même passion, la race de chevaux Arabo-boulonnais pour l'attelage.
BŒUF CHAROLAIS DE LA MAISON DELAMARRE (AUTEUIL - 60)
Un élevage local (à 13 km de notre point de distribution à Sainte-Geneviève).
Le bien être animal au cœur de leur méthode.
Des charolaises nourries avec des aliments 100% bio et 100% produits sur l’exploitation.
Une fin de vie digne, sans stress ni souffrance.
Une viande maturée à la guise de chacun.
Des morceaux sous vide et étiquetés.
Des colis de viande de 3kg, 5kg et 10kg, personnalisables ou non, sont disponibles pour les adhérents de notre AMAP, tous les deux mois mois.
Ferme familiale depuis des générations, l’un des pionniers de l’agriculture biologique dans l’Oise (agriculteur bio authentique depuis plus de 30 ans), la ferme de Malassise est située au sud de Beauvais, dans l’Oise, dans le petit hameau de Malassise. Ce hameau d’à peine 70 habitants est une bulle de calme et de verdure à moins d’une heure de Paris.
Trois générations travaillent ensemble, œuvrant au bien-être des animaux et permettant l’obtention d’une viande d’une qualité exceptionnelle.
La ferme de Malassise est encore une vraie ferme pleine de vie, qui rappelle celles de notre enfance.
En plus des vaches, taureaux et petits veaux, on peut y croiser poules, oies, canards…et chats, en totale liberté.
L’attention portée aux animaux, le souci permanent de leur bien-être, la qualité de l’alimentation, l’absence de stress, ainsi que le temps très long pris pour l’engraissement, donnent à la viande de la Maison Delamarre un goût exceptionnel, que beaucoup retrouvent et parfois même découvrent pour la première fois.
Une alimentation de qualité, et en quantité
Les animaux sont au pré les deux tiers de l’année (pré n’ayant pas subi d’épandage d’engrais chimique), puis à la ferme durant l’hiver. Les vaches sont alors nourries au foin de pré non traité, au foin de luzerne bio, ainsi qu’aux céréales bio, le tout produit à la ferme. En comparaison, les bêtes des élevages conventionnels sont nourris au soja (essentiellement en provenance d’Amérique et souvent OGM), au maïs ensilage et à la pulpe de betterave déshydratée (aliment bon marché et nourrissant, mais engendrant des problèmes de santé pour les animaux et apportant de l’acidité à la viande).
En plus de bénéficier d’une alimentation de qualité, les vaches sont nourries avec la quantité optimale de nourriture dont elles ont besoin, en fonction de leur stade de développement, âge, veaux à allaiter ou non…
En cas de sécheresse et de manque d’herbe dans les prés, toutes ont du fourrage en supplément alors même qu’elles sont aux prés.
Le bien-être des animaux avant tout
Tous naissent à la ferme et reçoivent soins et attention dès leur naissance. Que ce soit pour des difficultés à boire le lait de leur mère ou des maladies éventuelles pouvant survenir par la suite.
La réglementation pour les élevages biologiques (décrit ici), impose un sevrage au minimum 3 mois après la naissance. Ces 3 mois sont déjà bien plus que ce que l’on observe dans les élevages non bio, en particulier les élevages laitiers. Mais, afin de réduire au maximum le stress et les impacts négatifs que cela peut engendrer, il n’est pas rare qu’à La Maison Delamarre les veaux restent avec leurs mères jusqu’à 10 mois ! En plus d’être tardive, la séparation à lieu en douceur, la vache et le jeune bovin se retrouvant dans des enclos voisins. Le jeune n’est alors pas impacté par cette étape.
Durant la majeure partie de l’année, les vaches sont là où elles aiment être : au pré ! Elles ne rentrent à l’étable que pour se protéger du froid et de l’humidité de l’hiver.
Un engraissement long...
Comme souvent, le temps est gage de qualité. Le temps pris pour l’engraissement des animaux permet l’obtention d’une viande parfaitement grasse, ni trop, ni trop peu. C’est ce gras intramusculaire, le persillé, qui donne à la viande ce goût exceptionnel.
Une fin de vie sans stress ni souffrance
L'abattoir choisi par la Maison Delamarre, n'a pas le « rendement » comme priorité, garantissant un stress réduit pour les animaux.
L'abattage est garanti EXCLUSIVEMENT AVEC ÉTOURDISSEMENT, sans souffrance et pour cela ne pourra jamais répondre favorablement aux demandes d’abattage rituel halal.
Tout est mis en œuvre pour garantir une bonne vie aux animaux, donc un point d’honneur est mis à ce que la fin de vie soit sans stress et sans souffrance.
info@amapsaintegenevieve.org
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